Un article d’Hilary Butler, octobre 2012
Le lait maternel n’est PAS qu’une nourriture
Le lait maternel possède des propriétés importantes qui vont bien au-delà d’une nourriture.
Le lait maternel est d’une importance capitale et à long terme non seulement sur le développement du système immunitaire, mais aussi sur la flore intestinale, les allergies, le développement du cerveau et autres paramètres de santé.
Le lait maternel est un régulateur du système immunitaire, hormonal ; il est le magicien qui règle la densité osseuse.
Deux années d’allaitement stabilisent et consolident le « manuel » génétique de base de la santé de l’enfant et cela pour la vie entière.
Venons-en maintenant aux cellules-souches
Il y a déjà pas mal de temps – c’est en 2007 plus exactement – qu’est paru le premier article médical montrant que le lait maternel contenait des cellules-souches. Il est possible que les grands médias n’aient pas su que faire de cette information. Après tout, l’essentiel de la discussion portait sur l’utilisation pour la thérapeutique de cellules-souches provenant de fœtus avortés. Il y avait aussi le cas de certains parents qui voulaient conserver le sang ombilical de leur enfant pour pouvoir, dans la suite, guérir leur enfant de telle ou telle maladie.
Les cellules-souches : une grosse affaire
Il est évident que le sang ombilical n’est pas destiné à être conservé, parce que la première raison pour laquelle le sang ombilical contient des cellules-souches, c’est que le nourrisson a BESOIN d’une transfusion de cellules souches à la naissance. Il ne s’agit nullement d’un « déchet médical » comme on l’a dit jadis… il s’agit de la toute première transfusion sanguine naturelle. Les cellules-souches du cordon ombilical peuvent atteindre n’importe quel coin du corps ; elles peuvent tout réaliser parce qu’elles sont polyvalantes et peuvent être utilisées par le corps pour réparer n’importe quelle cellule. Mais cette action n’est possible que si le bébé peut en disposer. Elles ne sont d’aucune utilité pour le bébé si elles sont conservées dans une banque de sang.
Trente pour cent des bébés nés normalement présentent des hémorragies intra craniennes et autres problèmes du fait d’avoir été forcés de passer par un canal de 10 cm de diamètre…Ce sont ces problèmes que peuvent régler idéalement les cellules-souches du cordon ombilical. Rien d’autre ne pourra jouer ce rôle, car le colostrum et le lait ne sont pas encore là. Pour pouvoir atteindre n’importe quel coin du corps, il va sans dire que les cellules souches ont absolument besoin d’un sang particulièrement fluide.
La profession médicale professe cependant une idée bizarre : le sang particulièrement fluide que les bébés ont au cours des 7 premiers jours ne devrait pas être « normal » du fait qu’il ne ressemble pas au sang d’un adulte. C’est la raison pour laquelle on administre de la vitamine K à la naissance.
Le problème réside dans le fait que cette administration élève les taux de vitamine K à un niveau plus élevé que chez l’adulte.
Depuis 1985, la profession médicale sait que l’administration orale de vitamine K peut élever de 300 à 4000 fois les taux sanguins de plaquettes. L’injection de vitamine K peut rendre le sang 9.000 fois plus épais que le sang d’un adulte. Pourquoi ? Parce que les médecins prétendent que le sang du bébé est déficient en vitamine K, ce qui pourrait provoquer des hémorragies. Le Créateur (la Nature) ne savait vraiment pas ce qu’il faisait ! C’est ainsi que l’on administre de la vitamine K pour « épaissir » le sang du bébé.
En suivant le même raisonnement, le système médical prétend que le sang des personnes âgées est trop épais, c’est la raison pour laquelle on donne du « warfarin » pour fluidifier le sang. Comment ce produit agit-il ? En perturbant complètement le cycle de la vitamine K, de sorte que le sang des personnes âgées devient plus fluide que celui d’un bébé par ce qu’il ne contient plus de vitamine K. Le système médical ne semble accorder aucune attention au fait que les personnes âgées manquant de vitamine K2 peuvent en conséquence faire des problèmes osseux !
Le sang épaissi des bébés ne permet pas aux cellules souches de circuler facilement et d’atteindre n’importe quel point du corps. Il est possible qu’un jour la profession médicale réalisera que les cellules souches sont importantes et nécessaires pour le nouveau-né, mais aussi que les cellules-souches ont besoin d’un sang fluidifié pour des raisons bien spécifiques…
Revenons-en au lait maternel.
Un article de presse récent a fait état des découvertes de Hassiotou qui précisait que le lait maternel contenait de très importantes quantités de cellules-souches et que ces cellules-souches étaient identiques aux cellules-souches embryonnaires de sorte que les scientifiques n’étaient plus obligés d’utiliser des bébés avortés, ce qui pose d’importants problèmes éthiques. Evidemment, il semble que le système médical semble s’efforcer de récolter du lait maternel au profit des compagnies pharmaceutiques… parce que… « Le lait maternel peut être bien plus qu’une nourriture pour le nouveau né. Il est porteur d’espoir pour une quantité de maladies. Cet espoir ne nécessite pas la destruction d’innocentes vies humaines. »
[…] Il apparaît clairement que les cellules-souches seraient susceptibles de modifier l’expression des gènes. Je pense que les fonctions des cellules-souches sont énormes. Comme je l’ai déjà dit :
Le lait maternel n’est PAS qu’une nourriture
Le lait maternel possède des propriétés importantes qui vont bien au-delà d’une nourriture.
Le lait maternel est d’une importance capitale et à long terme non seulement sur le développement du système immunitaire, mais aussi sur la flore intestinale, les allergies, le développement du cerveau et autres paramètres de santé.
Le lait maternel est un régulateur du système immunitaire, hormonal ; il est le magicien qui règle la densité osseuse.
Il n’y a absolument aucun doute que les bébés nourris au sein ont des profiles de santé complètement différents des bébés nourris au biberon avec des formules du commerce ; ils sont de loin en bien meilleure santé à court et à long terme.
La recherche a montré que les cellules-souches sont présentes dans le lait maternel aussi longtemps que le bébé est nourri au sein.
Qu’est-ce que cela signifie en pratique pour le nourrisson ?
Formulons des hypothèses vu que la science n’aborde pas encore ces questions :
Si, par exemple, un bébé est malade, que pourront faire les cellules-souches ? Guérir le bébé ?
Si le bébé a été blessé dans un accident de la route, que pourront réaliser les cellules-souches ? Guérir les lésions cérébrales, les dommages causés au foie, aux os ?
Pendant les 30 années au cours desquelles j’ai travaillé avec les parents d’enfants qui avaient été victimes des vaccinations, j’ai pu observer que les plus grands dégâts se sont toujours produits chez les enfants nourris au biberon avec des formules du commerce. Ca en est arrivé au point que, quand une maman venait solliciter mon aide parce que son enfant avait eu de graves problèmes de santé après les vaccinations, je pouvais pratiquement prédire la réponse à ma question : « est-ce que votre bébé a été nourri au sein ? »
Je puis aussi très facilement prédire la réponse à la question, « votre bébé est-il né naturellement ? »
Les mamans d’enfants qui ont été victimes des vaccinations ont aussi un autre problème. Leurs enfants se retrouvent souvent dans le cabinet du médecin. Ils reçoivent beaucoup plus d’antibiotiques et autres médicaments (souvent inutiles) que les enfants nourris au sein.
Pour moi, la fonction non-nutritive du lait maternel est beaucoup plus importante que ce que les médecins acceptent de dire aux parents. C’est aussi la raison pour laquelle les bébés nourris au sein font beaucoup moins d’infections et sont nettement moins souvent malades que les bébés nourris au biberon avec des formules commerciales.
En bref, le « style de vie » selon les grandes voies de la nature est de la plus grande importance : toutes les « petites » choses – nutrition, beaucoup de soleil, eau pure, naissance naturelle, long allaitement maternel en évitant autant que possible toute interférence inutile du système médical ; toutes ces petites choses contribuent à générer de grands résultats.
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