Chaque mois, une compilation d’articles sur les dernières actualités sensibles autour du thème de la procréation et de la maternité.


L’exposition in utero au coronavirus des nourrissons peut-elle provoquer des troubles du développement chez l’enfant ?

Les données scientifiques officielles révèlent que l’exposition fœtale à des perturbateurs pourrait provoquer des troubles de neurodéveloppement. La question qui se pose est : le fait d’avoir été exposé au virus SARS-CoV-2 in utéro pourrait-il avoir un tel impact chez les nourrissons ?

Depuis le début de la pandémie, 200 millions de nourrissons ont vu le jour dans le monde. Bon nombre d’entre eux sont nés d’une mère atteinte du Covid-19. L’équipe du Pr Dani Dumitriu a décidé d’étudier les effets de l’exposition in utero au SARS-CoV-2 sur le neurodéveloppement des bébés au cours de leurs 6 premiers mois de vie.

Les chercheurs ont suivi l’évolution de 114 nourrissons nés de mères positives au coronavirus au Columbia University Irving Medical Center à New York, aux Etats-Unis. Les premiers résultats de l’étude ont révélé que le fait d’avoir été exposé au SARS-CoV-2 n’a causé aucun trouble neurodéveloppemental chez les nourrissons.

Cela reste valable, peu importe le degré de gravité de la maladie et le stade de la grossesse au moment de la contamination.


« Ceux qui utilisent le mot éthique comme complément de la GPA sont des menteurs, des ignorants ou des candides »

Formée en histoire et en philosophie et diplômée de l’Essec, Céline Revel-Dumas est journaliste. Alors que des voix continuent à promouvoir une GPA « éthique », l’auteur de GPA, Le Grand Bluff répond aux questions de Gènéthique.

Gènéthique : Vous publiez votre premier essai intitulé GPA, Le Grand Bluff, un essai extrêmement fouillé et documenté. Pourquoi vous être intéressée à ce sujet ?

Céline Revel-Dumas : J’ai découvert le sigle « GPA » dans les médias dans les années 2010. J’avais une vingtaine d’années. Il ne signifiait rien qui faisait sens. Alors j’ai cherché. La première définition que je trouvais sur internet indiquait qu’il s’agissait d’une femme mettant au monde un enfant pour le donner à un couple infertile. C’est l’altruisme qui était mis en exergue. Mais cette entente entre adultes m’a mise mal à l’aise tant le sort de l’enfant et ses besoins étaient mis en jeu sans prévention possible. Je me suis très rapidement demandé : « Et l’enfant dans tout cela ? ». La question du sort de la femme, de son corps, de l’ambiguïté d’un tel engagement est venue plus tard. Mais à force d’entendre des voix favorables à une « GPA éthique », notamment celle d’Élisabeth Badinter dès 2013, je me suis résolue à écrire sur ce sujet que je trouvais essentiel tant il conduisait à redéfinir les fondamentaux de notre société


2 433 morts fœtales dans le VAERS. Plus de morts fœtales au cours des 11 derniers mois qu’au cours des 30 dernières années

À ce jour (nov 2021), 2433 décès fœtaux ont été enregistrés dans le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) de femmes enceintes ayant reçu l’un des vaccins COVID-19. (Source)

La grande majorité d’entre eux sont postérieurs à Pfizer (1862 décès) et Moderna (656 décès).


Etats-Unis : Vente et trafic d’organes de fœtus et nouveau-nés, le nouveau scandale de l’avortement

Article d’Août 2021

La crise du covid-19 a révélé au commun des mortels que Big Pharma se sert de cellules de fœtus volontairement avortés pour le développement de ses vaccins ou injections géniques anti-coronavirus. Des scientifiques comme l’américaine Pamela Hacker soutiennent que le trafic d’organes et de cellules de fœtus avortés fait partie intégrante de la recherche actuelle dans certains grands laboratoires et que ces cellules sont prélevées sur des fœtus vivants. Des documents publiés récemment par la fondation américaine Judicial Watch épaulé par le Center for Medical Progress viennent confirmer ces trafics sur des fœtus encore vivants.


Alexandra Henrion-Caude – Les vaccins anti-Covid peuvent-ils altérer la fécondité des jeunes ?


Pr Peter McCullough- “Dans la grossesse avant toute chose c’est primum non nocere”


France : augmentation des naissances chez les femmes âgées de plus de 40 ans

Le taux de fécondité des femmes françaises a diminué depuis la seconde guerre mondiale. Mais, l’Insee relève dans son étude publiée le 10 janvier 2022, qu’« en 2019, 5,7 % des naissances étaient “tardives” en France ». Ce taux est « en augmentation depuis 40 ans ». Le rapport de l’Insee « montre que 100 femmes mettraient au monde 10,2 enfants entre leurs 40 et leurs 50 ans. En 1980, ce taux de fécondité cumulé n’était que de 3 enfants. »